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nltours
Description du blog :
NOTRE ARBRE GENEALOGIQUE S'APPUIE SUR DES RACINES QUI NE MEURENT JAMAIS: LA PASSION ET LE PLAISIR.A+
Catégorie :
Blog Consommation
Date de création :
10.02.2006
Dernière mise à jour :
19.02.2012

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Développer sa confiance en soi !

Publié le 01/10/2008 à 12:00 par nltours
Développer sa confiance en soi !
6 ACTIONS POUR AUGMENTER SA CONFIANCE EN SOI !


Denis Waitley, grand auteur et motivateur américain nous propose six actions, ou plutôt six comportements qui augmentent l'estime de soi. Nous pouvons identifier certains d'entre eux comme des choses que nous faisons naturellement dans nos interactions avec les autres. Si ce n'est pas le cas, nous vous suggérons de vous motiver à prendre certaines de ces mesures importantes immédiatement.

1) Commencez par saluer les autres avec un sourire en les regardant dans les yeux. Un sourire et un contact visuel inspirent une certaine confiance et un respect mutuel. De la même manière, répondez au téléphonez agréablement aussi bien au travail qu'à la maison. Lorsque vous désirez joindre quelqu'un par téléphone, donnez votre nom avant de demander à parler à la personne que vous voulez joindre. Mener la conversation en introduisant son nom est le signe de quelqu'un de respectueux.

2) En second lieu, montrez toujours que vous appréciez un cadeau ou un compliment. Ne réduisez pas la valeur ou n'évitez pas les expressions d'affections ou d'honneurs venant d'autrui. La capacité d'accepter ou de recevoir est une marque universelle d'un individu avec une solide estime personnelle.

3) Troisièmement, ne vous vantez pas. C'est presque un paradoxe de dire que la modestie véritable est la capacité de recevoir avec élégance des compliments. Les gens qui se vantent de leurs propres exploits essayent simplement de se constituer aux yeux des autres. Si ils agissent de la sorte, c'est parce qu'ils ne se perçoivent pas encore digne de respect.

4) Quatrièmement, ne faites pas de vos problèmes la pièce maîtresse de votre conversation. Parlez de manière positive de votre vie ainsi que des projets que vous tentez d'accomplir. Faites attention aux pensées négatives, ainsi que le nombre de fois où vous vous plaignez. Quand vous vous surprenez en train de critiquer quelqu'un - et ceci inclut les critiques que l'on s'inflige à soi-même - trouvez une manière d'être profitable plutôt que critique.

80% des gens s'en moquent totalement que vous ayez des problèmes.
Quant aux 20% des autres, ils s'en réjouissent (que vous ayez des problèmes)
!



5) Cinquièmement, répondez aux périodes difficiles ou aux moments plus délicats en augmentant votre niveau de productivité. Quand votre estime personnelle est mise à l'épreuve, ne vous reposez pas sur vos lauriers et ne vous posez surtout pas en victime. Feu Malcolm Forbes a indiqué : « les véhicules en mouvement utilisent leurs générateurs pour charger leurs propres batteries. Mettez-vous bien en tête que vous ne pouvez pas recharger votre batterie quand vous êtes garé dans le garage ! »


6) Sixièmement, choisissez de voir les erreurs ainsi que les rejets comme des occasions d'apprendre. Regardez un échec en tant que conclusion d'une exécution, pas l'extrémité de votre carrière entière. Acceptez vos imperfections, mais refusez de vous voir comme échec. Un échec peut être quelque chose que vous avez fait - et il se peut que vous refassiez cette chose sur le chemin du succès - mais un échec n'est certainement pas attribut personnel.

Même si vous êtes à un point où vous vous sentez très négatif par rapport à vous-même, rendez-vous compte que vous êtes maintenant idéalement placé pour apporter une impressionnante et rapide amélioration. Une évaluation personnelle négative, si elle est honnête et perspicace, nécessite beaucoup plus de courage et de caractère que de se faire des illusions. Ces dernières étant à la base de l'arrogance et de la vanité.

Cette vérité a maintes fois été prouvée notamment avec des athlètes : après une très mauvaise performance, une équipe ou un athlète individuel fait souvent bien mieux la fois suivante. Plus particulièrement encore après une très faible performance. Cela s'explique par le fait que lorsque la prestation est particulièrement mauvaise, il n'y a plus aucun échappatoire que d'en prendre la totale responsabilité !



La déception, la défaite, et même l'échec apparent ne sont nullement des conditions permanentes, à moins que nous choisissions nous-mêmes qu'elles en soient ainsi.


Au contraire, ces indéniables douloureuses expériences peuvent s'avérer être la base de fondations solides pour les succès futurs !






















Belle-mère !

Publié le 21/09/2008 à 12:00 par nltours
Belle-mère !
Un gars dit à un autre :
- J'ai fait couper la queue de Mon chien la semaine dernière car ma
belle-mère vient samedi.
- Ah oui ? Je ne vois pas Le rapport.
- Tu vois, je ne veux surtout pas qu'elle pense que quelqu'un est
content de la voir.


* Une belle-mère tombe dans un puits. Son gendre arrive et lui lance une
bouteille de whisky en ricanant :
- Tenez buvez ça, ça vous remontera !


Un mari et sa femme font les courses un samedi après midi :
- Chéri, c'est l'anniversaire de ma mère demain.
Si on lui achetait un appareil électrique ?
- Bonne idée ! Qu'est ce que tu penses d'une chaise ?


C'est un type qui croise un de ses copains dans la rue.
- Albert, ça va ?
- Ben figure-toi que ma belle-mère est morte la semaine dernière...
- Oh ! Merde ! Tiens, au fait? Qu'est ce qu'elle avait ?* *
- Bof, trois fois rien, deux chaises, une table, un buffet...


C'est Le printemps. Deux gars discutent assis sur un banc :
- Regarde comme c'est superbe, tout sort de Terre, tout revit...
- Déconne pas, j'ai enterré ma belle-mère cette semaine...


C'est un gars qui rentre dans un bistrot, tout égratigné sur la figure,
sur les bras, les jambes, bref pas mal amoché. Alors ses copains lui
demandent ce qui lui est arrivé. Le gars répond :
- Je viens d'enterrer ma belle-mère !
Les autres lui répondent :
- Quel est le rapport avec tes égratignures ?
Le gars répond :
- Ben c'est qu'elle ne voulait pas !



Nous avons tous un don

Publié le 17/09/2008 à 12:00 par nltours
Nous avons tous un don
Nous avons tous un don
qui peut sauver une vie


Don de moelle osseuse pour sauver une vie

Près de 2000 malades ont aujourd’hui besoin d’une greffe de moelle osseuse. Malheureusement, les chances de trouver un donneur compatible sont faibles : seulement une sur un million ! D’où l’importance de disposer du plus grand nombre de personnes consentantes possible, car chaque donneur étant unique, chaque nouvelle inscription peut changer, voire sauver, la vie d’un malade.
C’est dans cette perspective qu’est organisée du 15 au 21 septembre la 3ème semaine nationale de mobilisation pour le don de moelle osseuse.


Pour devenir donneur, il faut être en bonne santé, avoir entre18 et 50 ans lors de l’inscription, accepter de répondre à un entretien médical et de faire une prise de sang.
Pour plus d’infos :
[url]www.dondemoelleosseuse.fr [/url]et 0 800 20 24 24 (appel gratuit).
Source : communiqué de presse de l’Agence de la biomédecine, septembre 2008.


Nous avons tous un don qui peut sauver une vie

Mais peut-être pouvez-vous l’offrir à un malade qui a besoin d’une greffe ? Si vous vous portez volontaire au don de moelle osseuse en vous inscrivant sur le Registre national, vous pouvez donner une chance et un réel espoir à un malade.

http://www.agence-biomedecine.fr/fr/dondemoelle/volontaire.html

ouvert sur les autres !

Publié le 25/08/2008 à 12:00 par nltours
ouvert sur les autres !
Le maître Zong avait atteint le
degrés ultime de la connaissance : le
détachement.

Quand ses disciples lui demandèrent
comment il était parvenu à ce stade de
sagesse, il rit de bon cœur et
expliqua :

- A l'âge de 20 ans, je me fichais bien
de ce qu'on pouvait dire sur mon compte
et je ne faisais attention qu'à moi.

Passé l'âge de 20 ans j'ai commencé à
m'inquiéter sérieusement de ce que mes
voisins pensaient de moi.

Le jour suivant l'anniversaire de mes
50 ans, j'ai soudain compris que ni mes
voisins ni personne dans mon entourage
ne s'était jamais préoccupé de mon
sort.

Maître Zong a raison. Il faut avoir
atteint un certain degré de sagesse
pour oser mener sa vie comme on
l'entend, en dépit du regard qu'autrui
porte sur vous. Mais il est également
important de porter attention à ceux
qui nous entourent, sans pour autant
les juger...


Toute la difficulté est là : être à
la fois autonome et ouvert sur les
autres
.

GARDONS LES PIEDS SUR TERRE !

Publié le 21/08/2008 à 12:00 par nltours
GARDONS LES PIEDS SUR TERRE !
Nous avons tous des comportements qui peuvent parfois outrer autrui. Sans le vouloir, nous pouvons blesser et heurter la sensibilité de certaines personnes. C'est naturellement de là que naissent les conflits et autres antagonismes. Parce que ces personnes peuvent être des collègues, amis, et membres de notre famille, nous devons être vigilants face à certains traits que peut développer notre personnalité.

Le pire des défauts

Personne n'est pas parfait, ceci est une évidence. C'est pourquoi on nous apprend très tôt qu'il faut vivre avec tout le monde, avec leurs défauts et leurs qualités. Ceci dit, il existe un défaut qui met en péril les bonnes relations entre les gens : ce vice est l'arrogance.

Définition de l'arrogance : Insolence méprisante jointe à des manières impérieuses

Il nous arrive à tous de faire preuve d'arrogance à certains moments. Nous avons développés une liste ci-dessous des éléments pouvant être la cause du développement d'une certaine forme d'orgueil et de mépris que nous pouvons tous avoir à un moment ou un autre.
Les effets de ces éléments, s'ils ne sont contrôlés (via une remise en question continue), est qu'ils peuvent tous potentiellement amplifier le phénomène et ainsi forger des individus d'une vanité et d'une autosuffisance totalement détestables.


Les causes de l'arrogance :

1) Le complexe de supériorité : certains s'estiment, par une quelconque position (ou pseudo position) dans la société, naturellement supérieurs aux autres. Le niveau d'étude, un poste important, des revenus importants, son niveau d'influence, le prestige des époux et épouses, faire partie d'une civilisation (ou d'une tribu) plus « prestigieuse » (le début du racisme), etc., sont autant de critères qui peuvent gonfler l'égo des individus.

Il est évidemment légitime d'avoir une certaine fierté par rapport à certaines réussites et satisfactions personnelles. Néanmoins, certains oublient d'où ils viennent et voient en leur « réussite » la matérialisation définitive de ce qu'ils ont acquis. Un concept totalement archaïque qui fait de la personne victime du complexe de supériorité quelqu'un de, finalement, pas aussi respecté qu'il ne le croit.

2) Le coeur dur (ou l'absence de sentiment) : certaines personnes sont totalement insensibles à ce que d'autres peuvent ressentir. Cela contribue probablement à créer une distance (psychologique) entre « son piédestal » et les autres. Des faits et rien que des faits : pas de place aux sentiments. Les règles et les procédures sont au centre de tous rapports avec autrui.

L'ordre et la hiérarchie font naturellement partie de notre civilisation, ceci dit annihiler totalement toute considération émotionnelle dans ses rapports avec les autres ne forgera jamais des individus avec qui on aime rester.

3) L'absence de gratitude : les personnes victime du complexe de supériorité prononcent très rarement le mot « merci » (normal, tout leur est dû !). Savoir remercier est une qualité qu'on tente, dans le cadre d'une « bonne éducation », de nous inculquer depuis l'enfance. Certains, arrivés à l'âge adulte, curieusement s'en débarrassent.

4) Le mauvais soupçon (la susceptibilité) : toute résistance, toute objection à ses opinions est considérée comme une menace ! Les êtres orgueilleux sont aussi de grands peureux : peur qu'on ne remette leurs titres en causes, peur qu'on ne leur tienne tête, peur qu'on ne les lèse. Bref, tous les faits et gestes d'autrui (même innocents) seront toujours interprétés comme une éventuelle atteinte à leurs intérêts. Un conseil : si vous avez affaire à un être présentant ce défaut d'orgueil démesuré, faites tout pour éviter de mettre sa susceptibilité à l'épreuve. Comment ? Limitez les contacts ! Cela peut paraître radical, mais une personne constamment sur la défensive vous verra, ou plutôt verra vos agissements, comme une éventuelle menace.

Si le mal est fait, c'est-à-dire si vous êtes en conflit ouvert avec ce type de personne, n'attendez pas qu'elle vienne s'excuser. Les orgueilleux éprouvent les pires difficultés à prononcer un mot de six lettres : « pardon ».

5) L'autoritarisme : les personnes autoritaires exhortent, ordonnent, commandent, ... sans toujours utiliser les règles de politesse d'usage. Des mots comme « s'il vous plaît » ont souvent du mal à sortir. Le ton de l'exhortation peut, lui aussi, être contraire à la décence. Attention : ne faites jamais remarquer que le ton est déplacé, on vous fera remarquer que vous êtes ..... susceptible !

6) L'attitude négative : le fait de voir le verre plus souvent à moitié vide ne va jamais façonner un être harmonieux dans ce monde aux multiples possibilités, et où le soleil brille pour tous. Ne voir que les imperfections plutôt que les choses « dans leur globalité » va encourage le culte, ou plutôt le mythe, de l'excellence. Placidité et froideur, telles sont les « qualités » qui ressortent d'une telle conception des choses et de la vie.

Nous aurions pu développer un dernier paragraphe sur les effets de l'arrogance. Les effets sont simples : comme nous le disions, nous avons tous en nous, et à des degrés divers, certaines des différentes caractéristiques reprises ci-dessus. Ne pas les soigner (ne pas se remettre en question) peut développer orgueil et vanité en chacun de nous. C'est précisément cela qui, au final, va amplifier toutes les caractéristiques, tous les défauts, que nous avons énumérés.


La retraite !

Publié le 16/08/2008 à 12:00 par nltours
La retraite !
Depuis que je suis à la retraite, je m'ennuie un peu alors, l'autre jour, je suis allé en ville et suis entré dans un magasin.
J'étais là depuis à peine 5 minutes, lorsque je suis sorti, il y avait un policier qui rédigeait une contravention pour mauvais stationnement.
Je me suis rendu auprès de lui et lui dit : "Allons, monsieur, pourquoi ne pas donner une chance à un citoyen retraité ?"
Il m'ignora et continua à écrire.
Je l'ai traité de nazi.
Il m'a regardé et a commencé à écrire une autre contravention, parce que les pneus étaient soi-disant trop usés.
Alors, je l'ai traité de "tête de cochon".
Il finit la deuxième contravention et la plaça sur le pare-brise avec la première. Il commença ensuite à en rédiger une troisième sous un quelconque prétexte fallacieux..
Cela continua pendant environ 20 minutes.
Plus je le traitais de tous les noms, du style : "saloperie de flic", "poulet aux hormones", "gestapo", "chien policier", "homme des cavernes", "néanderthalien", "singe en uniforme" etc. plus il rédigeait de contraventions.
Personnellement, je m'en foutais un peu: J'étais venu au centre commercial en métro. Mais depuis que je suis à la retraite, j'essaie de trouver des trucs "fun" pour m'amuser.
C'est important de se tenir occupé, à mon âge.

Amitiés. à +

le devoir par le plaisir !

Publié le 12/08/2008 à 12:00 par nltours
le devoir par le plaisir !
Et si nous remplacions le devoir par le plaisir ?

' Je dois faire ceci, je dois faire cela '. Dans notre dialogue intérieur, cette phrase revient souvent, comme un leitmotiv. Elle nous met la pression, et nous ôte parfois un peu de joie de vivre. Avec tant de devoirs, nous nous sentons écrasés par notre vie. Et si nous changions de mode de fonctionnement ?

Remplacer le devoir par une motivation

Quand Odette se dit : ' Je dois faire mon repassage ', que se passe-t-il ? Personne ne l'oblige à repasser, sinon elle-même. Et si cette obligation lui pèse, elle pourrait très bien s'en alléger. Comment ? Elle pourrait bien sûr se dire qu'elle ne repasse pas et remettre à demain…. Ou un autre jour. Elle pourrait aussi décider de porter des vêtements non repassés et préférer avoir du temps à elle que des habits impeccables. Elle pourrait encore mettre en place une stratégie très répandue qui consiste à ne s'offrir que des vêtements ne nécessitant pas de repassage.

Une autre solution, et des plus intéressantes, est de remplacer le début de sa phrase.
Odette, au lieu de ruminer une phrase qui commence par ' Je dois… ' pourrait se dire en elle-même : ' J'ai envie de …. '
Quelle pourrait être cette phrase ? ' J'ai envie de me sentir bien dans mon joli chemisier et c'est pour cela que j'ai envie de le repasser. ' Ou bien ' j'ai envie d'avoir toute ma soirée disponible et c'est pour cela que j'ai envie de repasser maintenant '…


L'intérêt de remplacer nos ' je dois ' par des ' j'ai envie ', c'est que vous allez trouver votre motivation profonde. Vous saurez enfin pourquoi vous vous imposez quelque chose. Et lorsque vous le saurez, vous déciderez soit de continuer votre tâche, soit qu'elle n'a aucun intérêt. Par exemple, Odette, en se prêtant à cet exercice, a décidé de diviser par deux la quantité de son repassage. Se sentir jolie dans un chemisier bien repassé, oui, mais un jean, finalement, le jeu n'en vaut pas la chandelle. Elle l'a laissé de côté pour le porter tel quel.

Quand vous pensez : ' J'ai envie d'arriver à l'heure à mon travail pour parler avec mes collègues avant de commencer ma journée ', vous vous sentez plus heureux, plus joyeux que si vous pensez ' Je dois partir pour ne pas être en retard '…
Ce petit exercice mental vous permet de disposer de beaucoup plus d'énergie pour réaliser les tâches que vous choisissez vraiment de réaliser. Et il passe aussi au tamis les tâches que vous vous imposez sans raison valable.


Pourquoi peut-on en arriver à s'imposer des actes dont on n'a pas réellement envie ?
C'est que nous possédons une sorte de ' parent intérieur ', un juge, un maître qui est la résultante de toutes les obligations que l'on nous a imposées au cours de notre vie. Nous avons repris à notre compte ces obligations sans décider souvent si réellement nous avions envie de les adopter. Et nous n'en avons même plus conscience. Alors vous avez certainement des injonctions intérieures qui n'ont aucun intérêt. L'idéal est de prendre du recul et de les remettre en question.


Isabelle a appris par ses parents qu'' il faut toujours finir quelque chose avant d'en commencer une autre… ' C'est ce qu'elle tentait de mettre en pratique sans grande conviction. Elle avait envie d'agir autrement. Et elle s'aperçoit qu'elle avance plus rapidement en menant plusieurs tâches de front ! Pour qu'elle y parvienne, il a d'abord fallu qu'elle remette en question cette injonction intérieure. ' Il faut se démaquiller tous les soirs ' est une injonction des vendeurs de démaquillants ! Il faut boire 1,5 litre d'eau par jour un conseil des vendeurs d'eau minérale qui vient d'être démonté par une étude scientifique…

Alors, prenez de la liberté avec vos devoirs, remettez-les en question et remplacez-les par vos désirs. Vous observerez que vous vous sentirez à la fois plus libre et plus heureux. Et puis apprenez à vos enfants à agir en pensant au plaisir : le plaisir de réussir un examen, le plaisir d'apprendre, le plaisir de découvrir, le plaisir de mener à bien une tâche. Ne les écrasez pas sous des devoirs qui ne les intéressent pas, vous finiriez par les rendre allergiques.

Dr Catherine Solano

La vieillesse...

Publié le 06/08/2008 à 12:00 par nltours
La vieillesse...
La vieillesse est le temps de pratiquer la sagesse

Certains ont fait le choix
d'accueillir leurs aînés sous leur
toit. Ce n'est pas facile tous les
jours, il faut se battre pour que la
vie de famille ne vire pas au
cauchemar.

Mais c'est possible !
La preuve : lorsque mon père est décédé,
il nous a semblé tout naturel
d'accueillir ma mère. Depuis 7 ans,
nous vivons, ma femme, mes deux enfants
et moi avec elle. Les premiers temps
ont été difficiles. Il a fallu se
régler, faire des concessions pour
faire tenir tout ce petit monde dans
150 m² sans risquer le Big-bang !

Si vous êtes dans le même cas de
figure, voici un court programme qui
peut vous aider.

Assurez une vie indépendante à
votre mère ou père et prenez-le(s) au
sérieux. Il est impératif qu'ils aient
leurs propres activités.

Leurs occupations doivent être
utiles à toute la famille. Le tricot
c'est bien, mais il y a mieux :
jardinage, cuisine, sortie en voiture
(s'ils ont encore le permis et qu'ils
peuvent conduire sans danger)

Ne jamais les critiquer comme on le
ferait avec des enfants. Ils sont âgés,
mais ce sont encore nos parents !

Ne jamais donner de conseil, sauf
s'ils le demandent. Après tout, ils ont
l'expérience de l'âge !

Ne jamais se montrer indiscret ("où
étais-tu ? Qu'as-tu fait aujourd'hui ?")
ce sont des adultes responsables
de leur temps libre.

Ne pas revenir constamment sur le
passé, cela pourrait les rendre
nostalgiques.

Ne pas ruminer dans son coin. Si
vous avez quelque chose à dire,
n'attendez-pas que la situation
s'envenime : dites-le, mais sans
animosité, et commencez par une
réflexion positive.

Ne pas négliger les compliments :
les personnes âgées y sont aussi
sensibles que les autres. Quand elles
font un effort pour soigner leur
toilette, faites-le leur remarquer.

Ne devenez pas un martyr.
L'abnégation totale ne vous fera pas de
bien et renverra une mauvaise image à
votre hôte, qui se sentira alors
fardeau.

Un dernier conseil : souvenez-vous
qu'un jour, ce sera votre tour d'être
vieux. Et vos enfants diront : ma mère
ou mon père habite chez nous. Trouvez
dès aujourd'hui le moyen de donner à
votre fils ou à votre fille l'envie de
prononcer cette phrase avec fierté !


"La jeunesse est le temps d'étudier
la sagesse, la vieillesse est le temps
de la pratiquer
."
Jean-Jacques Rousseau

L'avis de la rédaction !

Publié le 30/07/2008 à 12:00 par nltours
L'avis de la rédaction !
WALL-E, INTELLIGENCE EMOTIONNELLE

Une planète Terre dénuée de vie humaine, balayée par des vents arides. Et un petit robot éboueur dont les yeux superbement expressifs font chavirer le cœur du spectateur en une seconde. Dès la première scène de WALL-E, on sait que Pixar a encore frappé. Le tour de force est d’autant plus remarquable que le réalisateur Andrew Stanton, déjà responsable du meilleur Pixar jusque-là, LE MONDE DE NEMO, adopte un parti-pris risqué. Non seulement WALL-E est une histoire d’amour, genre nouveau pour la firme, mais il est également quasi expérimental pour un divertissement grand public. Totalement muet durant sa première moitié et avare en dialogues dans sa seconde, WALL-E prend à revers les tendances actuelles. C’est son intelligence suprême : Stanton réclame l’attention du spectateur pour chaque image, afin de l’immerger dans le récit. Et cette immersion est totale. Le charme et le charisme des personnages, la fluidité de l’écriture, la justesse et la profondeur des sentiments, la finesse des messages, les nombreux et subtils gags, la somme incroyable d’idées (visuelles ou narratives), la perfection de la mise en scène, le travail sur le son, la richesse des décors… WALL-E est un spectacle total qui fascine, amuse, émeut, et pour lequel les superlatifs manquent.

UNE VERITE QUI DERANGE

Mais Pixar n’aime pas s’endormir sur ses lauriers. Comme pour répondre à Jeffrey Katzenberg qui l’accuse parfois de « gentillesse », la firme de John Lasseter donne une bonne leçon à Dreamworks (SHREK, MADAGASCAR) en ajoutant à WALL-E une dimension nouvelle : l’engagement. Pas une simple irrévérence poseuse comme chez certains. Le film ouvre une fenêtre sur plusieurs thèmes contemporains majeurs, et les observe avec intelligence, gravité et férocité, sans pour autant tomber dans la moralisation. L’écologie, le danger du tout technologique, la déperdition morale et physique d’une société sans racines sont autant de sujets savamment disséqués ici avec une puissance émotionnelle et une densité folles. Les parents risquent d’être effrayés et bouleversés devant ce monde qui pourrait ressembler à celui qu’ils laisseront à leurs enfants. Ces derniers verront sans doute en Wall-E un ami et messager, et il ne serait pas étonnant qu’il les marque comme E.T en son temps. Avec WALL-E, Pixar poursuit donc l’édification de son œuvre, l’une des plus fascinantes et singulières du cinéma contemporain, et démontre avec classe qu’il est possible de réaliser un film sans défaut, mais avec une âme et un cœur gros comme ça. Il sera sans doute difficile de faire mieux, mais après tout, on disait la même chose après LE MONDE DE NEMO...

Aurélien Allin

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chien minuscule !

Publié le 26/07/2008 à 12:00 par nltours
chien minuscule !
Un jour, un homme rentre chez lui avec un chien minuscule qu'il a acheté le jour même et annonce fièrement à son épouse :
- Regarde chérie ! Je t'ai acheté un chien pour te protéger quand tu sortiras toute seule et pour garder la maison. La jeune femme regarde avec étonnement le chien qui est à peine plus grand qu'un lapin et dit à son mari :
- Mon amour, crois-tu vraiment qu'un si petit chien pourra me protéger ? Regarde-le, il n'a pas l'air bien méchant. Il ne ferait même pas peur à un enfant de 2 ans.
- Je sais ma biche, il ne paie pas de mine mais c'est un chien d'une race très spéciale, élevée uniquement au Japon et, tiens-toi bien, il fait du karaté. Viens avec moi dehors je vais te montrer. Une fois dehors, le mari dit au chien :
- Karaté râteau ! Alors le petit chien se précipite sur le râteau qui était au milieu du jardin. Avec ses pattes avant il donne de grands coups sur le râteau, si bien qu'en un rien de temps, le râteau est transformé en un tas de petites brindilles... Afin de convaincre totalement son épouse, le mari dit au chien :
- Karaté barbecue ! Et l'animal se jette sur le barbecue en briques, lui assène de nombreux coups de pattes. Une minute après, à la place du barbecue il ne reste plus qu'un tas de gravats. Attiré par le bruit qu'a fait la démonstration un voisin arrive et demande ce qui se passe. Ravie d'avoir désormais un chien pour la protéger, la jeune femme lui explique :
- C'est notre chien, il est incroyable !!! Il fait du karaté ! Le voisin regarde alors le petit chien et dit avec un large sourire :
- Karaté, mes couilles...